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À la rentrée 2018, 201 500 élèves sont internes dans le second degré, soit 3,6 % de l’ensemble des élèves du second degré.

L’éloignement des collèges peut être approché de manière continue, à l’aide d’un indicateur synthétique qui tient compte, pour un établissement donné, du profil de la commune de résidence des élèves, de l’offre scolaire alentour ainsi que de l’offre culturelle et sportive.

À la rentrée 2018, 2 enseignants du second degré sur 3 assurent des cours sur plus de 3 niveaux de formation différents.

En 2018, la France a participé aux côtés de onze pays et deux provinces à l’enquête internationale ICILS de l’IEA
(Association internationale pour l’évaluation du rendement scolaire).

Éducation & formations est une revue scientifique institutionnelle publiée et éditée depuis 1982 par la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) du ministère chargé de l’éducation nationale.

Au cours de l’année scolaire 2018-2019, les chefs d’établissement du second degré public et privé sous contrat ont déclaré en moyenne 12,2 incidents graves pour 1 000 élèves.

L’analyse des compétences des élèves dans la maîtrise de la lecture sur support numérique en fin d’école met en évidence deux profils d’élèves : 45 % d’entre eux se situent dans les groupes de faible niveau ; ils éprouvent des difficultés pour accéder aux informations contenues dans des sites Internet. À l’opposé, 55 % des élèves développent des habiletés spécifiques leur permettant de construire un parcours de « lecture-navigation ».

En 2017, les collectivités territoriales (régions, départements et communes) ont consacré 36,2 milliards d’euros à l’éducation, soit un peu moins d’un quart de la dépense intérieure d’éducation (DIE).

Le nombre d’élèves dans le premier degré devrait s’établir à 6 714 000 à la rentrée 2019, à 6 660 200 à celle de 2020 et à 6 432 600 à la rentrée 2023 ; il était de 6 750 200 à la rentrée 2018, en forte baisse par rapport à 2017 (- 33 000 élèves).

En 2018, la France a consacré 157,2 milliards d’euros à son système éducatif, soit 6,7 % du PIB.