Malgré un réel effort de l'administration centrale pour passer au nouveau cadre budgétaire, le rapport constate, un an après sa mise en oeuvre officielle, son caractère inachevé du fait d'une visibilité encore insuffisante des recteurs sur leur budget, d'indicateurs de performance reflétant plus les attentes de la société que les priorités stratégiques de la politique éducative, de systèmes d'information et d'outils de gestion peu adaptés à un véritable contrôle de gestion et enfin d'une organisation administrative insuffisamment orientée vers la performance, tant au niveau de la centrale qu'au niveau académique. Le rapport esquisse plusieurs propositions sur chacun des champs évoqués afin d'illustrer que « le service public d'éducation peut répondre aux attentes de la société et rendre un service de qualité à un coût acceptable ».

Télécharger le rapport